Le GTEK Groupe de Transition Écologique Kajyn améliore la résilience individuelle de chaque famille en mutualisant les ressources hétérogènes de tous.
Pour rejoindre les activistes du GTEK, inscris toi au prochain conseil de tribu sur kajyn@kajyn.com
"Face aux risques et aux enjeux globaux, les villes sont en première ligne. La résilience urbaine consiste à prendre la mesure de ces défis, et à agir à l’échelle locale, dans une vision de long terme."
Le GTEK s'organise pour que chaque membre de la Tribu Kajyn puisse se préparer à surfer la décroissance. Et toi ? Tu en penses quoi ?
Les changements qui s'annoncent peuvent être anticipés et vécus avec enthousiasme. On peut vivre à Paris sans perdre le lien avec les réalités. On peut prévoir sans céder à la panique. On peut se préparer tout en améliorant son quotidien.
Conformément aux recommandations officielles sur https://www.gouvernement.fr/risques chaque citoyen est sensé se préparer aux risques majeurs : menaces terroristes, risques sanitaires, risques technologiques, risques naturels et risques cyber.
Mais ce n'est pas suffisant car le survivalisme de base n'est ni un avenir acceptable ni durable. Personne ne peut supporter de passer les 10 prochaines années à manger des rations en conserves au fond d'un trou et tirer sur toutes les personnes qui tentent d'y entrer. L'isolement ne fonctionne pas. Il est préférable de surfer la décroissance ( vivre la décroissance positivement ) et se former à la transition écologique avec pragmatisme.
En réveillant l'autonomie et la résilience de chacun de ses élèves dans le cadre du Groupe de Transition Écologique, le Kajyn réunit les ressources nécessaires au développement d'une tribu solidaire, suffisamment hétérogène pour résister aux crises, suffisamment fonctionnelle pour servir d'exemple et suffisamment forte pour soutenir d'autres groupes, tout aussi solidaires mais peut-être moins bien armés.
Nous avons tous suivi le lapin blanc au fond du trou jusqu'à cette page et comme lui, nous sommes tous tellement en retard qu'il serait dangereux d'attendre davantage* que des scientifiques trouvent des solutions miracles ou que l'état prenne des décisions pour nous. Chacun doit agir pour lui même, pour ses proches et -créer ou suivre- des groupes de transition locaux comme le GTEK, les villes en transition (Rob Hopkins) ou les oasis colibris (Pierre Rabhi), etc. Il y a une option adaptée à l'état d'esprit de chacun mais il est important d'agir immédiatement au sein de collectifs à taille humaine, beaucoup plus réactifs et sensés que les organisations nationales ou internationales.